21/07/2021
Le millésime 2021 accueille un nouveau first-time fund : Aldebaran Transformation Fund I vient, en effet, de signer son premier closing à 130 M€.
Positionnée sur les situations complexes, la société de gestion a déjà pu compter sur le soutien d’institutionnels de la trempe de Bpifrance, du FEI, ou encore d’AG2R La Mondiale, ainsi que sur des family offices et entrepreneurs. Si le montant réuni au premier closing est déjà remarquable pour un « first-time », malgré le lancement début 2020 perturbé par le Covid-19, Aldebaran Capital Partners ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle ambitionne de collecter, au total, 300 M€ pour ce véhicule. « La dynamique de la commercialisation est bonne, et nous pensons compter sur 200 M€ d’ici la fin de l’année », indique Amélie Brossier, présidente et fondatrice d’Aldebaran. L’ex-managing partner du FCDE s’est associée dans ce projet avec François Darpas, ancien DRH du groupe CNIM et notamment passé dans les cabinets de conseil Balthazar et EY, qui prend la direction générale de la société de gestion. David Kusters (ex-3i, Alpha et Egeria) complète l’équipe en tant que directeur, alors que Nicolas Paulmier (ancien senior partner de Cinven) se joint à l’aventure comme senior advisor et président du comité d’investissement.
Aldebaran Transformation Fund I va se concentrer sur les entreprises françaises « ponctuellement » sous performantes. Si elle est en mesure d’aller jusqu’aux procédures de sauvegarde, elle ne fera pas de retournement stricto sensu et ne se positionnera donc dans le cadre de redressements judiciaires. L’idée est de miser entre 15 M€ et 60 M€ dans sept à huit participations à la faveur d’opérations majoritaires conclues avec peu ou pas de levier. Le tout en ciblant des sociétés générant de 20 et 300 M€ de chiffre d’affaires. « La complexité peut être liée à l’entreprise en elle-même, sa structure bilantielle ou un repositionnement nécessaire, comme avoir une dimension transactionnelle, avec par exemple une garantie de passif sur des sujets environnementaux qui pourrait limiter l’intérêt des fonds de LBO traditionnels dans le cadre d’un carve-out de grand groupe, détaille Amélie Brossier. L’idée est de mettre le capital-humain au centre du parcours de transformation. Si l’entreprise, management et collaborateurs, entrent en résistance, le plan ne peut être mené à bien, malgré sa justesse et les moyens déployés. »
Positionnée sur les situations complexes, la société de gestion a déjà pu compter sur le soutien d’institutionnels de la trempe de Bpifrance, du FEI, ou encore d’AG2R La Mondiale, ainsi que sur des family offices et entrepreneurs. Si le montant réuni au premier closing est déjà remarquable pour un « first-time », malgré le lancement début 2020 perturbé par le Covid-19, Aldebaran Capital Partners ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle ambitionne de collecter, au total, 300 M€ pour ce véhicule. « La dynamique de la commercialisation est bonne, et nous pensons compter sur 200 M€ d’ici la fin de l’année », indique Amélie Brossier, présidente et fondatrice d’Aldebaran. L’ex-managing partner du FCDE s’est associée dans ce projet avec François Darpas, ancien DRH du groupe CNIM et notamment passé dans les cabinets de conseil Balthazar et EY, qui prend la direction générale de la société de gestion. David Kusters (ex-3i, Alpha et Egeria) complète l’équipe en tant que directeur, alors que Nicolas Paulmier (ancien senior partner de Cinven) se joint à l’aventure comme senior advisor et président du comité d’investissement.
Aldebaran Transformation Fund I va se concentrer sur les entreprises françaises « ponctuellement » sous performantes. Si elle est en mesure d’aller jusqu’aux procédures de sauvegarde, elle ne fera pas de retournement stricto sensu et ne se positionnera donc dans le cadre de redressements judiciaires. L’idée est de miser entre 15 M€ et 60 M€ dans sept à huit participations à la faveur d’opérations majoritaires conclues avec peu ou pas de levier. Le tout en ciblant des sociétés générant de 20 et 300 M€ de chiffre d’affaires. « La complexité peut être liée à l’entreprise en elle-même, sa structure bilantielle ou un repositionnement nécessaire, comme avoir une dimension transactionnelle, avec par exemple une garantie de passif sur des sujets environnementaux qui pourrait limiter l’intérêt des fonds de LBO traditionnels dans le cadre d’un carve-out de grand groupe, détaille Amélie Brossier. L’idée est de mettre le capital-humain au centre du parcours de transformation. Si l’entreprise, management et collaborateurs, entrent en résistance, le plan ne peut être mené à bien, malgré sa justesse et les moyens déployés. »